Début 2011, des soulèvements populaires secouent Tunis, Le Caire, Tripoli, et font tomber des dictateurs honnis. L’onde de choc est immense dans toute la région, du Maroc à Oman, de la Syrie à l’Irak.
Et puis est venu le temps du statu quo — moindre mal —, de la répression féroce, de la guerre et du malheur. Les peuples voulaient le changement, ils ont souvent hérité le pire.
Dans une série d’articles en partenariat avec notre réseau Médias indépendants sur le monde arabe, plusieurs journalistes et spécialistes issus de la région analysent les printemps arabes et leurs suites.
Les articles présentés sur notre site sont soumis au droit d’auteur. Si vous souhaitez reproduire ou traduire un article d’Orient XXI, merci de nous contacter préalablement pour obtenir l’autorisation de(s) auteur.e.s.